Le travail de Nina Ivanovic se nourrit de son intérêt pour l'environnement urbain et les relations entre les gens : le laveur de carreau, l'appareil photo, le jardin d'Eden. A travers ses dessins, photographies, installations et sculptures, c'est avant tout la ligne qu'elle expérimente. Mais aussi la relation entre la ligne, le mouvement et l'espace.
Ses premiers dessins, rapides, faits au feutre ou au stylo, pure description linéaire, l'ont menée aux dessins faits avec des câbles (wire) qui parfois s'apparentent à un dessin en trois dimensions.